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Les Cahiers Yves Navarre

Chaque colloque international Yves Navarre donne lieu à la publication de ses actes chez H&O, sous le titre Cahiers Yves Navarre. Des intervenants issus d’horizons divers – universitaires, chercheurs, artistes, bibliothécaires, lecteurs… – analysent plusieurs aspects de l’œuvre d’Yves Navarre, sur une thématique donnée. Un texte rare ou inédit complète généralement chaque Cahier.
Les trois premiers Cahiers ont été publiés suite aux colloques de Galway (2014), de Paris (2015) et de Montpellier (2016). Les éditions suivantes sont biennales : le colloque de Liège (mai 2018) a donné lieu aux Cahiers 4 (2019), celui de l’Institut de France (octobre 2021) aux Cahiers 5 (2022) et celui de Condom (juin 203) aux Cahiers 6 (2024).

Cahiers 1, Une vie à écrire, H&O 2015.
« Avant-propos », Sylvie Lannegrand.
« Préface à quatre mains », Sylvie Lannegrand et Philippe Leconte.
« Sur le contenu des Cahiers », la Rédaction.
« Premières impressions », Lillis Ó Laoire.
« Je vis où je m’attache, une lecture », Morwena Denis.
« Catherine », Véronique Montémont.
« Yves Navarre : une vérité intime aux multiples visages »,
Véronique Montémont.
« Merci d’avoir laissé le h de vérandah », Dominique Dussidour.
« Le journal d’Yves Navarre, ‘…tel qu’il se glisse sous la plume…’ », Sylvie Lannegrand.
« Poèmes et chansons chez Yves Navarre », Jean Perrenoud.
« Traverser tous les lieux de la parole », Bruno Bisaro.
« De l’homosexualtié à travers l’œuvre romanesque d’Yves Navarre », Patrick Dubuis.
« De l’Hôtel Styx à Caron, requiem pour des feuilles mortes », Michto Rex.
« Réception de l’œuvre d’Yves Navarre », Philippe Leconte.
Certains osaient encore prétendre…, tapuscrit inédit d’Yves Navarre.
La Gobeuse d’âmes, nouvelle inédite d’Yves Navarre.

Cahiers 2, Du romanesque à l’autobiographique, H&O 2016.
« De l’art de se perdre dans la forêt navarrienne », la Rédaction.
« Dans la mémoire vive », Jocelyne François.
« Un roman intitulé Biographie », Dominique Dussidour.
« L‘Etoile rose de Dominique Fernandez et Biographie d’Yves Navarre : deux cheminements différents », Patrick Dubuis.
« Présentation de La Fibre des mots », Julian Lembke.
« Yves Navarre, un mélomane à l’écriture mélodieuse »,
Philippe Leconte.
« (Hors) le lieu des luttes », Bruno Bisaro.
« Mettre en scène une pièce d’Yves Navarre », Margaux Palluet.
« Ce sont amis que vent emporte, une lecture », Anna Gonzalez.
« Mots imprimés, parole vive: Yves Navarre et ses lecteurs »,
Karine Baudoin.
« Une invitation au voyage » , Angèle Bonvalet.
« Quand l’autobiographie joue avec la fiction : Yves Navarre écrit pour les enfants », Sylvie Lannegrand.
« Les théâtres secrets d’Yves Navarre », Arnaud Maïsetti.
« La mise en scène du quotidien chez Yves Navarre », Anne de Tienda.
Ainsi donc, ou la sonate en do majeur dite facile de W.A.M., texte rare d’Yves Navarre.

Cahiers 3, Écrire contre toute attente, H&O 2017.
« Éditorial », la Rédaction.
« Des ronces ou des broussailles, ou Fallait-il tuer papa-maman ? », Frédéric Canovas:
« Lorsque le soleil tombe, un roman de romans », Philippe Leconte.
« De Huelva à Cuelga, jeux de miroirs et mises en abyme »,
Philippe Leconte.
« L’oubli est parfois aussi important que la mémoire », Serge Hefez.
« Kurwenal adapté au cinéma », Yves Sartiaux.
« Freaks Society : le texte comme carrière de pierre », Julian Lembke.
« Yves Navarre et ses éditeurs », Sylvie Lannegrand.
« Les théâtres secrets d’Yves Navarre (II) : le drame saccagé », Arnaud Maïsetti.
« Face au miroir de l’homme blessé : la prise en charge particulière d’Yves Navarre », Anne de Tienda et Didier Combe.
Chants de l’herbe et de l’enfant, poèmes inédits d’Yves Navarre.

Cahiers 4, Tenir en éveil la conscience • Engagement littéraire, politique et social chez Yves Navarre, H&O 2019.
« Éditorial », la Rédaction.
« Yves Navarre et le Syndicat des Écrivains de Langue Française », Karine Baudoin.
« La Force tranquille : apport politique d’une approche poétique », Frédéric Canovas.
« Une lecture de Romances sans paroles. Condensation, projection ? Une œuvre, un roman. Un roman une œuvre », Claude Guerre.
« L’écho (dis)semblable. Influence et importance de l’œuvre d’Yves Navarre dans la construction identitaire d’un jeune homosexuel », Francis Lamberg.
« Yves Navarre et François Mitterrand », Philippe Leconte.
« L’homosexuel face à la littérature », Antoine Idier.
« Yves Navarre et l’esthétique queer », Amandine Maes.
« Le pouvoir des mots : lieux et enjeux de l’engagement », Sylvie Lannegrand.
Bouquet final – Deux textes politiques inédits d’Yves Navarre.

Cahiers 5, Liens familiaux, parentés littéraires, postérité, H&O 2022.
Xavier Darcos rend hommage à l’auteur dans son allocution d’ouverture.
Frédéric Canovas nous fait entrer dans les Maisons de Familles d’Yves Navarre.
Hervé Malblanc se demande de quelles familles Abel Klein est-il en quête dans La Ville atlantique.
François-Régis Navarre nous parle de la poétique de l’attachement chez Yves Navarre.
Bruno Bisaro nous confie ses notes pour une mise en scène des Valises.
Hélène Arié et Jean-François Chatillon disent l’émotion de jouer une pièce d’Yves Navarre.
Serge Hefez évoque Yves Navarre et ses familles.
Philippe Leconte dévoile les rapports entre Yves Navarre et Marguerite Duras.
Sylvie Lannegrand explore la question de la postérité chez Yves Navarre.
Anne de Tienda raconte avec émotion « ce jour où la fiction devint réalité ».

Cahiers 6, Lieux de vie, territoires de l’écrit, H&O 2024.

Frédéric Canovas s’interroge sur les liens et les lieux d’attachement.
Patrick Dubuis nous dit comment les lieux participent à l’écriture du désir homosexuel.
Barthélèmy évoque l’époque où l’auteur et lui étaient collègues à l’agence Publicis.
Corentin Zurlo-Truche nous rappelle l’espace médiatique qu’occupait Yves Navarre.
Claude Guerre décrypte les noms de pays dans Biographie.
Brigitte Louichon met en miroir Évolène, le roman, et Évolène, le lieu.
Richard Brütting examine la question des toponymes dans Le Jardin d’acclimatation.
Karine Baudoin nous interpelle de Montréal : ce sont amis que vent emporte.
Philippe Leconte analyse les rapports d’Yves Navarre à la ville-monde de New York.
François-Régis Navarre enquête sur les lieux de mémoire chez Yves Navarre.
Pascal-Henri Poiget compare Proust et Navarre dans le lieu romanesque retrouvé.
Bouquet final : Vues imprenables et Les Heures claires, deux textes rares d’Yves Navarre.

Commander les Cahiers Yves Navarre :
Cahiers 1, 160 pages, format 14,8 x 21 cm, 16 euros TTC.
Cahiers 2, 168 pages,  format 14,8 x 21 cm, 16 euros TTC.
Cahiers 3, 168 pages, format 14,8 x 21 cm, 16 euros TTC.
Cahiers 4, 176 pages, format 14,8 x 21 cm, 16 euros TTC.
Cahiers 5, 128 pages, format 14,8 x 21 cm, 16 euros TTC.
Cahiers 6, 200 pages, format 14,8 x 21 cm, 16 euros TTC.