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Les Cahiers Yves Navarre ou « dire comment on aime un écrivain »

Nous découvrons avec plaisir sur le site d’Ent’revues, le journal des revues culturelles, la recension des Cahiers 4 Yves Navarre « Tenir en éveil la conscience – Engagement littéraire, politique et social chez Yves Navarre ». Regard intelligent et sensible de Hugo Pradelle sur le colloque qui s’est tenu à Liège en mai 2018, à travers les actes parus au printemps 2019 chez H&O et, ce faisant, sur le concept que nous avons retenu pour les colloques internationaux Yves Navarre depuis leur lancement en 2014 : la diversité des intervenants et des propos, l’inclusivité, la complémentarité des regards et des expressions, de l’universitaire à l’artiste, du lecteur passionné au témoin, du chercheur au professionnel du livre… Merci Hugo Pradelle pour cet article qui encourage les Amis d’Yves Navarre dans l’organisation de leur colloque biennal et, avec les éditions H&O, dans la publication des Cahiers.

Extraits de « Yves Navarre, un écrivain dans le monde » :

« Navarre s’est engagé aussi ; c’est l’époque. Il n’a pas tout fait tout seul. Il a connu, même circonspect, une certaine joie à être avec les autres, à se grouper, à faire front. Le 4e numéro des Cahiers Yves Navarre revient, avec une grande précision, sur cette question, ces enjeux, dans son travail et dans son existence. Il nous rappelle un certain engagement (oublié quelque peu) de l’écrivain dans les grands débats de son époque, rappelle un souci des autres.

(…) L’équipe des Cahiers Yves Navarre s’attelle à une tache ardue. Comprendre les engagements divers d’un homme qui ne perçoit le monde qu’à ses proportions intimes, dans ce que le réel affecte. Qui observe le monde et tente d’y conserver une position intenable. Humaniste, contradictoire, violente… C’est un travail fort intéressant par lequel on perçoit et dessine un portrait de l’écrivain à rebrousse-poil, dans une forme de décalage ou de contradiction permanents. C’est informé, précis, mais touchant et émouvant, complexe. C’est ça que dit cette revue finalement, comment on aime un écrivain, vraiment. »

Retrouvez l’article complet de Hugo Pradelle sur Ent’revues.

 

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